Étiquette : Les poches du mois

Les poches du mois : L’empreinte – Dites aux loups que je suis chez moi – La tyrannie de la réalité

Les poches du mois : L’empreinte – Dites aux loups que je suis chez moi – La tyrannie de la réalité

Le poche du mois « Je suis contre la peine de mort. La mort, c’est ce dont j’ai peur. La mort, c’est ce qui a emporté ma sœur ; la mort, c’est ce que les adultes redoutent pour mon frère ; la mort, c’est ce dont…

Les poches du mois : Au loin –  Baby Jane – L’ordre du temps

Les poches du mois : Au loin – Baby Jane – L’ordre du temps

  Le poche du mois   « Hakan avait l’impression de distinguer leur odeur. Celle de la puanteur humaine. À quelles brutalités allait-il être soumis ? Car ces hommes étaient de l’engeance des sauvages et des cruels – il le voyait à leurs cicatrices, il…

Les poches du mois : Circé – Les délices de Tokyo – Nos cabanes

Les poches du mois : Circé – Les délices de Tokyo – Nos cabanes

Le poche du mois « Quand je suis née, le mot désignant ce que j’étais n’existait pas. Ils m’appelèrent donc nymphe, présumant que je serais comme ma mère, mes tantes et mes milliers de cousines. Moindres que ceux des déesses mineures, nos pouvoirs étaient si modestes…

Les poches du mois : Sucre noir – Ceci est mon sang – Le petit déjeuner des champions

Les poches du mois : Sucre noir – Ceci est mon sang – Le petit déjeuner des champions

Le poche du mois Notre histoire commence à bord du bateau du capitaine Henry Morgan, perché en haut de la mangrove après une effroyable tempête. La mutinerie gronde, la famine menace, mais la coque du vaisseau crèvera avant les hommes, laissant s’échapper un merveilleux trésor, ruisselant…

Les poches du mois : Le jour des corneilles – Les passeurs de livres de Daraya – Les invisibles

Les poches du mois : Le jour des corneilles – Les passeurs de livres de Daraya – Les invisibles

Le poche du mois « Ce sont des jours étranges, ces jours après le retour, le retour d’un père, d’un mari, d’un fils et d’un frère. En outre c’est la fin avril et la lumière a chassé la nuit pour de bon, il n’y a…

Les poches du mois : Article 353 du code pénal – Dirty week-end – Les idées noires de la physique

Les poches du mois : Article 353 du code pénal – Dirty week-end – Les idées noires de la physique

Le poche de février « Parce que le problème, c’est que même un gars mauvais, même la pire des crapules, il y a des moments où elle n’est pas une crapule, des moments où elle ne pense pas à mal. Et croyez bien que ça ne…

Les poches du mois : Les vertus de l’échec – Continuer –  Les amnésiques n’ont rien vécu d’inoubliable

Les poches du mois : Les vertus de l’échec – Continuer – Les amnésiques n’ont rien vécu d’inoubliable

L’ Essai du mois  de janvier   « Un voyage de mille lieues commence par un pas. » (Lao-tseu) Et un voyage en philosophie pourrait bien commencer par ce livre. Charles Pépin, professeur de philosophie, est aussi un excellent vulgarisateur. À travers les exemples de quelques célébrités…

Les poches du mois : Le dernier amour d’Attila Kiss – Le chant d’Achille

Les poches du mois : Le dernier amour d’Attila Kiss – Le chant d’Achille

Le poche qu’on aime en décembre « Peut-être, lorsque nous prononçons les mots histoire d’amour, croyons-nous ainsi designer la qualité romanesque de nos affections, la façon dont nous pouvons à posteriori les réduire à la banalité d’un récit – mais nous oublions alors que l’autre sens du mot…

La femme brouillon – Amandine Dhée

La femme brouillon – Amandine Dhée

Le poche qu’on aime en novembre « Mon ventre bascule dans le domaine public. On s’autorise des gestes déplacés en temps normal, on touche mon ventre comme un gris-gris, le dos du bossu, la tête du singe. Moult commentaires, il est petit, rond, carré, vers l’avant,…

Hiver à Sokcho – Élisa Shua Dusapin

Hiver à Sokcho – Élisa Shua Dusapin

Les poches qu’on aime en octobre « Lorsque Kerrand a commencé à dessiner, son trait était irrégulier. Il reprenait les lignes plusieurs fois, comme pour les effacer, les corriger, mais chaque pression les gravait. Le sujet, méconnaissable. Un branchage, un tas de ferraille peut-être. J’ai fini…