Célébrons la Commune !
Dans la nuit du 17 au 18 mars 1871, il y a 150 ans, débute la Commune. La population parisienne empêche les troupes de Thiers de reprendre les canons de la Garde nationale. C’est le point de départ d’une expérience radicalement nouvelle d’expérimentation démocratique, d’auto-organisation et de recherche d’égalité, qui s’achève après 71 jours. La répression, lors de la Semaine sanglante, est terrible. Le bilan est de 10 000 à 20 000 morts dont un grand nombre exécuté par les versaillais. Cette commémoration est donc une bonne occasion de présenter les parutions, récentes ou plus anciennes, sur cet épisode méconnu de l’Histoire de France.
Les mémoires de Louise Michel (1830-1905) dans lesquelles elle raconte son enfance campagnarde, ses débuts d’institutrice avant 1870, sa lutte pour élever les enfants des quartiers pauvres ou ses actes militants sous la Commune, témoignant ainsi de la vie ouvrière à Paris à la fin du second Empire.
Mémoires, Louise Michel, Folio Histoire
Cette suite des Mémoires commençant avec le décès de sa mère Marianne Michel, et celui de Victor Hugo, son idole, et finissant avec son départ à Londres, éclaire la personnalité de la militante libertaire et son rapport à l’histoire, à la mémoire, au présent de sa lutte et à l’écriture.
À travers la mort, Louise Michel, La découverte
Initialement paru en 1963, cette étude retrace l’histoire de ces femmes qui, pendant la Commune, ont été accusées d’avoir incendié Paris et qui, malgré l’absence de preuves, ont été fusillées ou condamnées à la déportation. L’auteure analyse l’engagement politique de ces femmes et décrypte les représentations sur la violence féminine que la figure de la pétroleuse charrie.
Les « pétroleuses », Edith Thomas, Folio Histoire
Récit du soulèvement du 18 mars 1871 et de la brève existence de la Commune de Paris. Il est suivi des dossiers inédits des conseils de guerre devant lesquels sont passées les figures de proue de la Commune telles Louise Michel, Courbet, Rossel et Ferré.
La Commune et les communards, Jacques Rougerie, Folio histoire
L’histoire de la Commune de Paris, de son avènement à sa chute, racontée à partir de témoignages contemporains des événements. Les représentations ultérieures de cet épisode ainsi que ses conséquences à long terme sont examinées.
Les communards, Jean-Pierre Azéma, Michel Winock, Perrin
Une biographie d’E. Varlin, ouvrier, militant de l’Association internationale des travailleurs et membre de la Commune de Paris en 1871, qui fut assassiné à la fin de la semaine sanglante. L’ouvrage fait également la chronique du développement des sociétés ouvrières des années 1860.
Eugène Varlin, Aux origines du mouvement ouvrier, Jacques Rougerie, Éditions du Détour
Nathalie Lemel, née à Brest en 1827, fut une militante féministe qui participa à la Commune de Paris en 1871. Amie d’Eugène Varlin et de Louise Michel, elle lutta pour la caisse maladie, les congés payés, l’égalité des sexes et contre le travail des enfants. L’album retrace son parcours, de Brest à Paris en passant par le bagne de Nouméa.
Des graines sous la neige : Nathalie Lemel : communarde & visionnaire, Roland Michon, Laëtitia Rouxel, Locus Solus
Alors qu’il est à la recherche de Lavalette, le narrateur rencontre différentes personnes et, par leurs témoignages, il découvre peu à peu les tourments qui ont mené à la révolution de 1871. Illustrations réalisées à partir de gravures de l’époque de la Commune.
Les damnés de la Commune ; À la recherche de Lavalette ; t.01, Raphaël Meyssan, Éditions Delcourt
18 mars 1871. Alors que la Commune de Paris est proclamée devant l’Hôtel de Ville, Lavalette prononce l’un des discours. Il ne peut imaginer à cet instant que cette révolution se terminera deux mois plus tard, dans une sanglante répression.
Les damnés de la Commune ; Ceux qui n’étaient rien ; t.02, Raphaël Meyssan, Éditions Delcourt
72 jours après son début, la Commune subit la répression versaillaise. Victorine, Lavalette et leurs camarades doivent affronter une armée. Dernier volume de la série.
Les damnés de la Commune ; Les orphelins de l’histoire ; t.03, Raphaël Meyssan, Éditions Delcourt
Adaptation du roman de J. Vautrin qui fait revivre le Paris de la Commune en 1871, avec ses crimes, ses joies et ses amours.
Le cri du peuple, Jacques Tardi, Jean Vautrin, Casterman
Printemps 1871, la France vient de se déclarer vaincue. Du haut de la Butte Montmartre où elle habite, Louise observe les soldats prussiens encercler Paris. En cachette, la fillette écoute les débats animés qui se déroulent à la nuit tombée. Les désirs de ne pas se soumettre et de changer la vie se conjuguent.; le grand rêve de la Commune de Paris prend forme et de nouvelles lois généreuses sont promulguées dans la capitale insurgée. Comme de nombreux Parisiens, ouvriers et artisans, le père de Louise n’hésite pas à prendre les armes. Les routes sont contrôlées par les Prussiens et par les Versaillais. Qu’à cela ne tienne, Louise aide son papa facteur.
Louise du temps des cerises ; 1871, la commune de Paris, Mako Daeninckx, Rue du monde
Hiver 1870 : alors que Paris, assiégée par l’armée prussienne, subit le froid et la famine, Victorine, 11 ans, passe le plus clair de son temps à s’occuper de Castor et Pollux, les deux éléphants du Jardin des Plantes. Nourrie par les exploits des célèbres éléphants d’Hannibal, elle élabore un plan pour libérer Paris.
Communardes ! ; Les éléphants rouges, Wilfrid Lupano, Lucy Mazel, Vents d’Ouest
Recueil de textes issus de journaux intimes et de correspondances écrits durant le siège et la Commune de Paris, par des citoyens, des journalistes ou des écrivains reconnus tels que Victor Hugo et Théophile Gautier.
Témoigner pour Paris : récits du siège et de la Commune (1870-1871) : anthologie, Eleonore Reverzy, Éditions Kimé
Répondant aux questions de son fils, l’historienne s’appuie sur une iconographie très riche pour décrire de manière didactique les événements de la Commune de Paris, du déclenchement de l’insurrection jusqu’à la répression sanglante et aux mémoires de 1871.
La commune de 1871 expliquée en images, Laure Godineau, Éditions du Seuil
Ardent journaliste et communard, P.-O. Lissagaray donne un témoignage de premier plan sur la manière dont un acteur de l’événement concevait le rôle de la Commune, ainsi que sur les critiques adressées aux Versaillais. Brosse également un tableau de tous les courants de la pensée sociale, des affrontements internes et un bilan des réalisations ou des tentatives de mesure de la Commune.
Histoire de la Commune de 1871, Prosper-Olivier Lissagaray, Éditions La Découverte
Une anthologie de textes variés relatant les évènements de la Commune de Paris en 1871 : poèmes, chansons, pièces de théâtre, entre autres.
La commune des écrivains ; Paris, 1871 : vivre et écrire l’insurrection, Collectif, Folio
A travers l’analyse des textes littéraires français, l’auteur étudie les réactions de l’homme de lettres confronté aux événements populaires. Il présente de nombreux écrivains qui prennent alors ouvertement position contre la révolution : Théophile Gautier, Maxime Du Camp, Edmond de Goncourt, G. Sand, E. Zola, etc. Edition augmentée d’une partie consacrée aux artistes qui ont soutenu la Commune.
Les écrivains contre la Commune ; les artistes pour la Commune, Paul Lidsky, Éditions La Découverte
L’auteur analyse sous l’angle du marxisme, les conditions économiques, politiques et historiques de la proclamation de la Commune et dresse le portrait du Paris insurgé : des femmes de Montmartre désarmant les soldats, prolétaires anonymes prenant la parole dans les quartiers et les clubs. Pour l’auteur, la Commune reste un moment unique de ce qu’il nomme la révolution totale.
La proclamation de la Commune, Henri Lefebvre, Éditions La Fabrique
Cet essai donne à voir la Commune de 1871 comme une création politique originale, hostile à toute bureaucratie, tout chauvinisme, tout républicanisme. L’auteure illustre sa créativité sociale et culturelle en prenant appui sur les parcours de P. Kropotkine, E. Reclus et W. Morris.
L’imaginaire de la Commune, Kristin Ross, Éditions La Fabrique
Proclamée le 18 mars 1871 et écrasée par les troupes versaillaises le 28 mai, la Commune de Paris fait paraître, du 20 mars au 24 mai, son journal officiel dans lequel sont publiées les décisions importantes prises par les révolutionnaires dans les domaines de l’armée, de l’éducation, du travail ou de la politique étrangère. Une sélection d’extraits fait revivre l’insurrection au quotidien.
La Commune au jour le jour ; le journal officiel de la Commune de Paris (18 mars-28 mai 1871), Christian Mahieux, Éditions Syllepse
Paru entre 1908 et 1914, Mes cahiers rouges offrent un témoignage de ce que fut l’opposition au Second Empire et le siège de Paris en 1871. Ils constituent également un classique de la littérature communarde.
Mes cahiers rouges ; souvenirs de la Commune, Maxime Vuillaume, Éditions La Découverte
Cet extrait des Actes et paroles publié en 1876 témoigne d’une certaine sympathie pour la Commune et dénonce la répression sanglante des insurgés.
L’insurrection parisienne, Victor Hugo, Éditions de L’Herne
Roman autobiographique. Enfant battu, étudiant farouche, toujours la rage au cœur, Jacques Vingtras est un perpétuel insurgé. Il est dès 1850 de toutes les émeutes. L’insurrection de 1870 donne une dimension héroïque à sa fureur de vivre. Cette oeuvre reste le témoignage le plus saisissant sur l’esprit d’une génération dont l’idéal de révolte naît d’une générosité encore toute romantique.
L’insurgé, Jules Vallès, Le livre de poche
Tout en retraçant l’histoire de la Commune de Paris et ses enjeux politiques, l’historienne fait des allers-retours au XXIe siècle afin de comparer les deux périodes, les soulèvements populaires et les aspirations du peuple français.
La Commune au présent : une correspondance par-delà le temps, Ludivine Bantigny, Éditions La Découverte
Le destin hors du commun de Louise Michel, combattante politique, féministe et aventurière. De la Commune de Paris et du siège de 1870 aux plages de la Nouvelle-Calédonie où elle fut exilée, les auteurs font revivre toute une époque, tourmentée et violente, et brossent le portrait d’une femme qui a marqué l’histoire de France. Avec des notes documentaires.
Louise Michel, la Vierge Rouge, Mary Margaret Talbot, Bryan Talbot, Vuibert
Retrace la vie de l’institutrice révolutionnaire anarchiste Louise Michel (1830-1905), de sa naissance au château de Vroncourt en Haute-Marne à sa mort dans un petit hôtel marseillais, en passant par ses actions pendant la Commune de Paris et sa déportation en Nouvelle-Calédonie.
Louise Michel, Franz Van Der Motte, L’Harmattan
Cette publication réunit trois textes clefs pour comprendre l’histoire de la Commune de Paris, de l’enthousiasme qu’elle a soulevé à son avènement en mars 1871 à son écrasement en Mai.
Vive la Commune ! : extraits du procès de Louise Michel, VIe Conseil de guerre, audience du 16 décembre 1871, Louise Michel, Karl Marx, Jules Vallès, Points
L’auteur explore la philosophie et les pratiques politiques dans le Paris libre de 1871. Il présente trois principales conceptions de la Commune : un conseil républicain garant des franchises municipales de la ville, un gouvernement révolutionnaire ou un complément politique des organisations de travailleurs en vue de la restructuration socialiste de la société.
Commun-commune ; penser la Commune de Paris (1871), Jean-François Dupeyron, Kimé éditions
Cet essai se penche sur les usages politiques des mémoires de la Commune. L’auteur montre ces mémoires sont plurielles et conflictuelles et comment chacun investit cet événement complexe de ses propres attentes, étroitement liées aux enjeux politiques du temps.
La commune n’est pas morte, Eric Fournier, Éditions Libertalia
Une réflexion sur le sens de l’insurrection parisienne de 1871 et de ses répercussions. L’auteur montre comment la forte répression policière et judiciaire a transformé l’événement en une image universelle de la lutte sociale.
La commune de Paris, Sébastien Haffner, Editions de Fallois
Le 16 avril 1871, Alix Payen s’engage à 29 ans comme ambulancière dans le 153e bataillon de la garde nationale dans lequel combat son mari Henri Payen. Elle témoigne du quotidien de ses camarades avec sensibilité et humour. En tant que communarde, elle participe à la défense des forts d’Issy puis de Vanves contre l’armée versaillaise tout en écrivant à sa mère pendant les moments de calme.
C’est la nuit surtout que le combat devient furieux ; une ambulance de la Commune (1972), Alix Payen, Michèle Audin, Éditions Libertalia
Victorine est une femme du peuple, une Parisienne. Elle a connu deux révolutions, celle de 1848 et celle de 1871, la Commune, à laquelle elle participa corps et âme. Cette pétroleuse qui fut laissée pour morte, fusillée officiellement, trouva refuge en Suisse où elle milita pour l’Internationale. Ce récit exprime le point de vue d’une militante.
Souvenirs d’une morte vivante ; une femme dans la commune de 1871, Victorine Brocher, Éditions Libertalia
Une histoire de la Commune de Paris qui se fonde sur ses personnages importants comme Gambetta, Louise Michel ou encore Victor Hugo, mais surtout sur le peuple parisien.
La commune, Yvan Pommaux, Christophe Ylla-Somers, École des loisirs
Le romancier évoque les sentiments que suscitent en lui le déclenchement de la guerre franco-prussienne, la débâcle des armées de Napoléon III, la Commune et le siège de la capitale. Au-delà de la condamnation des événements de la Commune, ce témoignage donne à voir le quotidien parisien durant cette période trouble et l’attachement de Gautier aux Parisiens.
Tableaux de siège, Paris 1870-1871, Théophile Gautier, Éditions Bartillat
Notes rédigées avant le 18 mars et après le 24 mai 1871 par le chef du personnel de l’Hôtel de ville de Paris, élu conseiller de la Commune, membre de la commission exécutive et délégué de la commission des services publics. Un témoignage sur le labeur quotidien de la machine administrative assurant la survie matérielle de Paris pendant l’insurrection, au-dessus de tout gouvernement.
Notes pour servir à l’histoire de la Commune de Paris, Jules Andrieu, Éditions Libertalia
Basés notamment sur des sources inédites telles que des correspondances ou des journaux, ces 35 textes inédits de spécialistes analysent la période communarde à l’échelle locale, nationale et internationale. Les vies des hommes et des femmes qui se sont illustrés lors des événements de la Commune de Paris sont évoquées, ainsi que l’historiographie et la commémoration du soulèvement.
La commune de 1871 : une relecture, Laure Godineau, Marc César, Creaphis
À travers la guerre franco-prussienne et au fil des événements de la Commune de Paris surgirent des célébrités qui publièrent des écrits. Les plus humbles ont laissé aussi des traces, des lettres, avec au jour le jour leurs actions, leurs peurs, leurs espoirs. Nombre de ces hommes et de ces femmes étaient issus de Bretagne.
Les Bretons et la commune de Paris ; 1870-1871 ; récit historique, Charles Des Cognets, L’Harmattan
Paris, 1871, dans le quartier du Marais. Alors que le domicile d’Albert Theisz, un bronzier ayant participé aux événements de la Commune, est perquisitionné, ses voisins l’aident à fuir. Quelques mois plus tard, Josée Meunier le rejoint à Londres où il a trouvé refuge. Ensemble, ils rêvent de retrouver Paris où leur histoire d’amour a commencé. Inspiré d’une histoire vraie.
Josée Meunier, 19 rue des juifs, Michèle Audin, l’Arbalète/Gallimard
Plongé au cœur de la guerre civile, le journaliste relate, quelques semaines après les faits, la semaine sanglante qui a marqué la fin de la Commune de 1871. Il évoque les barricades, les gardes nationaux et le petit peuple de Paris, dévoilant la lâcheté de certains mais aussi l’héroïsme de femmes et d’hommes qui prirent les armes pour défendre leurs idéaux.
Les huit journées de mai derrière les barricades, Prosper-Olivier Lissagaray, Éditions Critique
À l’occasion des 150 de la Commune, le 1 revient dans son hors-série XL sur la figure de Louise Michel. Héroïne de l’insurrection et de la pensée libertaire, elle fut une pionnière sur les questions de féminisme, d’émancipation et d’égalité´. Son héritage, plus que jamais d’actualité´, est ici célèbré par des écrivains, des artistes, des féministes et les historiens (Alice Zeniter, Pénélope Bagieu, Ludivine Bantigny).
Le 1 hors-serie ; xl ; louise michel, egerie de la commune, Collectif, Le 1
Dans ce roman paru en 1913, L. Descaves (1861-1949) rend hommage aux communards en restituant leurs années d’exil et leur difficile retour.
Philémon : vieux de la vieille : roman de la Commune, de l’exil et du retour, Lucien Descaves, Éditions La Découverte
Biographie de Nathalie Le Mel, communarde bretonne, révolutionnaire et féministe du XIXe siècle. L’auteur décrit son parcours professionnel, ses luttes et ses engagements ainsi que sa déportation au bagne de Nouvelle-Calédonie après la Commune. Publié à l’occasion du 150e anniversaire des événements de 1871.
Nathalie le Mel ; une communarde bretonne, révolutionnaire et féministe, Joseph Kerbaul, Éditions Le temps des cerises
François Camille Cron fut l’un des communards de mai 1871. Trois ans après l’insurrection parisienne, une dénonciation l’envoie en déportation. Depuis l’Ile des Pins, cet ancien employé comptable entreprend de consigner, pour son fils, le récit de sa participation aux événements et de sa vie quotidienne. Son texte révèle également ses rêves et ses angoisses. Avec les pièces de son procès.
Mémoires de Francois Camille Cron (1836-1902), déporté de la Commune en Nouvelle-Calédonie, François Camille Cron, Éditions Mercure de France
Portrait de l’institutrice et activiste anarchiste Louise Michel (1830-1905), qui participa à la Commune et fut déportée en Nouvelle-Calédonie, avant de reprendre la lutte en France et de connaître divers emprisonnements.
Le roman de Louise, Henri Gougaud, Le livre de poche
Mai 1871. Les 120.000 soldats français massés aux portes de Paris s’apprêtent à donner l’assaut et à sonner le glas de la Commune. François Blanzac, un jeune journaliste, est envoyé en secret dans la capitale par le colonel de la Brède pour tenter de convaincre son ami Juvénal Depons, le chef des insurgés, de déposer les armes. L’officier semble avoir des motivations très personnelles.
Frères de sang, Guillaume Debré, Bouquins
Biographie d’Olympe Audouard (1832-1890), écrivaine, journaliste, éditrice, grande voyageuse et figure de proue du féminisme sous Napoléon III. Associée aux prostituées parisiennes dans les registres de la police des mœurs, elle subit des attaques et des moqueries de la part de personnalités telles que Emile Zola ou Georges Eugène Hausmann. Elle a également combattu en faveur du droit au divorce.
Olympe : être femme et féministe au temps de Napoléon III, Liesel Schiffer, Éditions Vendémiaire